six scènes, mille raisons de ne pas dormir
Quand le jour décline, Solidays s’embrase. Six scènes vibrantes jusqu’à l’aube, un tourbillon musical où les frontières s’effacent et les corps se laissent porter. Ici, un chapiteau comme karaoké géant où tout le monde chante faux… mais juste ensemble ; là, une scène électro insuffle l’énergie brute des nuits Berlinoises.
À chaque détour, une nouvelle ambiance, une nouvelle rencontre, une émotion inattendue.
On ne vient pas seulement écouter de la musique. On vient vivre. Crier plus fort que les basses, hurler un refrain des années 2000 sans prévenir, sans honte, sans retenue. Solidays la nuit, c’est un rite de passage, un festival dans le festival, une parenthèse où tout devient possible — jusqu’à 5h du matin.
Les nuits blanches ? C’est là que tout commence.
